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terça-feira, outubro 04, 2022

COMMENT FAIRE FACE AU STRESS

 

Quand le mois de septembre approche, il semble que beaucoup de personnes se sentent stressées. C’est certainement dû à l’énergie différente que l'on ressent globalement. En effet, l’été il est facile de baigner dans une énergie de repos, de vacances, de fête et d’absence de projets importants. Dès que l’été s'achève, nous savons que nous devons nous préparer à des changements d’activités, d’horaire, etc.

Je vous invite à bien utiliser cette énergie de changements au lieu d'en avoir peur.

Comment faire face aux SOURCES de stress ou de malaises :

  • Être attentif à la CULPABILITÉ.
    Saviez-vous qu’on peut se sentir coupable sans en être conscient ? Il est important que vous soyez alerte à la grande influence de votre ego qui vous dit que ce que voulez, dites et faites est mal ou pas correct. Aussitôt que vous entendez les petites voix dans votre tête vous juger ou vous accuser, prenez le temps de prendre trois bonnes respirations et dites à votre ego que vous êtes prêt à assumer les conséquences de toute action que vous vous voulez entreprendre.  Je vous rappelle qu’aussitôt que vous ressentez un malaise, cela indique que vous avez laissé votre ego prendre votre place.
  • Bien utiliser votre PERFECTIONNISME.
    Le stress est vécu par les personnes qui utilisent mal leur perfectionnisme. Il est bon de rechercher l’excellence, mais si vous êtes trop idéaliste, c’est encore votre ego qui est à l’œuvre par exemple quand vous avez peur d’être critiqué ou que votre réputation soit affectée. En étant perfectionniste, vous risquez d’être un éternel insatisfait. Je vous conseille d'accepter d'être aussi parfait que vous pouvez l’être. Vous n'avez pas à réviser sans cesse ou recommencer plusieurs fois la même chose.
  • Être alerte à vos OBLIGATIONS.
    Aussitôt que vous vous entendez dire ou penser «il faut », «je devrais », c’est encore la voix de votre ego et non de votre être. Demandez-vous alors quelle serait votre préférence et décidez de la satisfaire ou non, selon votre capacité d’assumer les conséquences. Ainsi ce sera vous qui déciderez et non votre ego.

Voici quatre moyens pour vous aider à retrouver votre puissance intérieure avec calme, joie et fierté.

  1. SAVOIR CE QUE VOUS VOULEZ. Aussitôt qu’un désir fait surface, vérifiez s’il répond à un vrai besoin de votre être en vous posant la question suivante : En quoi ce désir va m’aider à être ? Comment vais-je me sentir ? Soyez alors alerte à ce que vous ressentez. Si cela vous enthousiasme, vous découvrez que c’est un vrai besoin.
  2. SE DÉCIDER. Souvenez-vous que pour manifester quoi que ce soit dans la vie, il ne suffit pas de seulement désirer. Aucune action ne peut être entreprise sans avoir pris une décision. Prenez le temps de ressentir en vous « JE DÉCIDE de… ». Sachez que cette décision est un acte d’amour envers vous-même. Vous seul pouvez décider de ce qui est bon pour vous. Si vous ne répondez pas vous-même à vos désirs, vous aurez des attentes envers les autres. Ceci vous causera du stress et des malaises. Vous pouvez faire des demandes, mais rappelez-vous que personne n’est sur terre pour répondre à vos attentes.
  3. PASSER À L’ACTION EN ÉTANT ORGANISÉ. Pour passer à l’action, il est important de planifier. Il se peut que ce ne soit pas le bon moment pour manifester ce désir. C’est seulement en vérifiant quels sont vos capacités, les moyens, le temps à votre disposition, et en notant le tout sur papier, que vous pourrez décider si vous foncez maintenant vers ce que vous voulez ou si vous le planifiez pour plus tard. Par contre, n’oubliez pas ce que vous voulez, car le fait de le visualiser et de sentir l'enthousiasme (le WOW) en vous est un bon moyen de développer l’énergie nécessaire pour le réaliser un jour.
  4. LÂCHER PRISE. La capacité de lâcher prise est un des moyens les plus importants pour se libérer du stress et apprendre à faire confiance à votre DIEU intérieur, votre grande puissance créatrice. L’opposé du lâcher-prise est de vouloir tout contrôler. Vous savez que vous lâchez prise lorsque vous vous sentez bien même si les résultats ne sont pas selon ce que vous vouliez ou aviez planifié. Votre mental ne peut pas connaître les vrais besoins de votre âme, votre être. Seule votre énergie divine sait tout de vous et connaît vos vrais besoins. Par contre, lâcher prise ne signifie pas être inactif et avoir une confiance aveugle dans le fait que tout arrive tout seul. C’est plutôt faire tout ce qui est en votre pouvoir pour atteindre vos buts et ensuite les remettre entre les mains de l’Univers pour vous diriger vers ce qui est le mieux pour vous.

Pour illustrer tout ce qui précède, prenons un exemple. L’été s'achève et vous décidez que vous voulez suivre une formation en vue d’améliorer ce que vous êtes/faites ou en vue de changer de carrière. Il est fort probable que votre ego décide de vous prendre en charge. Il est très fermé à tout ce qui est nouveau, car il ne connaît que le passé et craint l’avenir. Il croit que vous ne pourrez pas faire face aux conséquences d’un changement.

Il essaiera possiblement de vous culpabiliser, de vous faire croire que vous n’êtes pas assez bien pour viser cette amélioration, que vous devriez utiliser votre temps et votre argent à autre chose qui est plus important, etc.

C’est pour cela qu’il est important de bien vérifier ce que ce désir vous permettra d'ÊTRE comme expliqué plus haut et d’être alerte au sentiment d'enthousiasme qui survient (le wow !). Pour vous aider davantage, posez-vous cette question : Si toutes les circonstances étaient parfaites, si j’avais tout le temps et l’argent nécessaires, que cela ne dérangeait personne autour de moi, comment me sentirais-je à l’idée d’aller vers ce que je veux ? Retenez bien la première réponse, car très souvent en quelques secondes l’ego prend le dessus pour vous faire douter de vous.

Il se peut aussi que vous vous aperceviez que finalement un certain désir ne vous enthousiasme pas, qu’il était non fondé.

SI vous avez ressenti de l'enthousiasme, passez à la planification.  Mettez tout en œuvre pour concrétiser votre désir et lâcher prise sur les résultats…


https://ecoutetoncorps.com/fr/ressources-en-ligne/chroniques-articles/comment-faire-face-au-stress/

terça-feira, junho 09, 2015

POURQUOI ET COMMENT VIVRE VOTRE MOMENT PRÉSENT?


Voici quelques questions auxquelles je vous suggère de répondre avant de continuer à lire cet article:
 
Pourquoi la plupart d'entre nous trouvent leur motivation seulement dans la peur ou la perte?
Pourquoi attendons-nous d’être malades avant d’apprécier le miracle de la vie?
~ Pourquoi avons-nous peur de perdre quelque chose avant même d'en jouir?
Pourquoi attendons-nous que notre partenaire nous quitte pour réaliser à quel point nous l’aimons?
Pourquoi remettons-nous nos désirs à plus tard comme si nous avions tout le temps du monde?
 
Est-ce que ces questions vous interpellent? Quelles sont vos réponses? 
Les deux raisons principales de l'incapacité de jouir et de profiter de chaque instant de notre vie sont la peur et la culpabilité qui sont sans cesse alimentées par nos croyances, par l'ego. 
Vivre dans le moment présent signifie être en contact avec ce qui se passe à ce moment précis sans s’inquiéter pour le futur, ni penser au passé. Mais il faut bien s’occuper du futur, direz-vous. Vous avez raison, on peut planifier son avenir et avoir des projets. Toutefois, il y a une différence entre planifier et s’inquiéter. 
Si vos pensées sont empreintes de peur ou de culpabilité lorsque vous planifiez quelque chose, il est certain que vous ne pouvez être en contact avec ce qui vous habite profondément. Ainsi, vous n'agirez pas selon vos vrais besoins. Ce sera la peur qui décidera pour vous. Par contre, si l'idée d'un projet futur vous enthousiasme beaucoup, vous prendrez les bonnes décisions durant la planification, car vous serez dans le moment présent. Vous ne ressentirez ni peur ni culpabilité par rapport à vos désirs même s'ils peuvent vous paraître injustes envers les autres par exemple. 
On dit bien Pourquoi s’en faire pour le futur alors que personne au monde ne le connaît? Surtout depuis que nous sommes dans l’ère du Verseau, tout change très rapidement et nous devons toujours être prêts à nous adapter. Rien ne vous empêche de planifier, mais faites-le en fonction dequi vous êtes à ce moment. Vous devez vous permettre de changer d’idée et de vouloir autre chose plus tard. Pourvu qu'une idée vous enthousiasme beaucoup, vous savez que vous écoutez un besoin de votre être. 
Il est donc inutile de vous sentir coupable quand vous changez d'idée. Je connais plusieurs personnes qui n’osent pas aller de l'avant, car elles pensent devoir admettre qu’elles se sont trompées. En réalité, elles ne se sont pas trompées, leur décision était juste au moment où elles l’ont prise. C’est comme si vous achetiez un vêtement parce que vous l’aimez et que deux ans plus tard vous vous en vouliez de l'avoir acheté parce qu'il ne vous plaît plus et que vous croyez avoir commis une erreur. 
Quand vous vivez dans le moment présent, il n’y a pas d’erreurs dans votre vie, il n’y a que des expériences. 
Il est certain que ce n’est pas facile de toujours être en contact avec le moment présent. Il y a beaucoup d’interférences, le plus important étant notre ego qui entretient des pensées d’inquiétude, de peur, de culpabilité. Nous vivons dans un monde de stress, d’anxiété, de tension, de maladies. De plus, quand nous pensons au passé, nous vivons des regrets, des rancunes, de l’amertume et de la tristesse. Voilà pourquoi il est important d’être alerte à ce que vous vivez. Aussitôt que vous vous rendez compte que vous pensez au passé ou appréhendez le futur, je vous invite à prendre trois grandes respirations et à reporter votre attention sur ce qui se passe à cet instant même. 
Les avantages que vous aurez à être centré seront de vivre pleinement au présent et d'être dans la lumière. C'est dans ces moments que surviendront les bonnes idées et les conseils pour vous diriger vers vos besoins. 
Mais que fait-on quand on n’aime pas ce qui se passe en ce moment? Je sais que notre vie ne reflète pas toujours nos préférences. Le seul moyen que je connaisse pour demeurer dans le présent durant les situations moins agréables est de demeurer observateur. Être observateur signifie de vous regarder ainsi que la situation ou les personnes, comme si vous regardiez un film. Vous observez ce qui se passe aux plans physique, émotionnel et mental. Physiquement : que ressentez-vous dans votre corps? Émotionnellement : prenez contact avec les sentiments qui surgissent en vous ou que vous pouvez détecter chez les autres. Mentalement : quelles sont vos pensées, vos peurs, vos inquiétudes? 
Être observateur signifie ne porter aucun jugement sur ce que vous observez. Vous mettez ainsi toutes les chances de votre côté pour découvrir ce que vous avez à apprendre de cette situation désagréable. Et rappelez-vous que tout est temporaire. 
Faire une rétrospective à la fin de la journée peut vous aider à prendre conscience des situations où vous n'avez pas réussi à rester dans le moment présent. Donnez-vous simplement le droit de ne pas avoir été capable de le faire à ces moments-là. 
Plus vous vous acceptez lorsque vous êtes tel que vous ne voulez pas, plus vite vous serez capable d’être tel que vous le voulez.
Avec amour, 
Lise Bourbeau 

sexta-feira, agosto 29, 2014

SAVEZ-VOUS QUE VOTRE SYSTÈME IMMUNITAIRE TRAVAILLE POUR VOUS RAMENER VERS L'AMOUR DE VOUS-MÊME?

Regardons d’abord l’aspect physique du système immunitaire avant de comprendre le lien qu’il a avec l’aspect spirituel de notre vie.
Nous savons tous que notre système immunitaire a pour fonction de nous protéger contre toute substance qui agresse notre organisme en produisant une inflammation qui est un mécanisme de défense automatique. Notre système immunitaire inné ne fait pas de différence quant au type d’agression, mais il sait instinctivement quand une substance ou un corps étranger n’est pas bénéfique pour nous. Si ce premier moyen de défense n’élimine pas la substance étrangère assez rapidement, le système immunitaire développe des cellules mémoires pour créer une réaction immunitaire spécifique qui agit contre un agresseur déjà connu et pour lequel il a été créé. En plus il déclenche beaucoup plus rapidement la défense contre la substance agressive répétitive.
Quels sont les agresseurs qui nous attaquent continuellement? La peur, la culpabilité, les accusations, le rejet de soi, etc. 
Tout ce qui n’est pas de l’amour de soi en fait. Notre système immunitaire représente notre Dieu intérieur. Il sait quand nous ne sommes pas dans l’amour véritable et nous envoie un signal par l’inflammation qui se produit. Nous avons beaucoup de chance d’avoir un si bon gardien à l’intérieur de nous qui a pour seule fonction de nous ramener à l’amour de nous-même.
Malheureusement, au lieu d’écouter le message qu’il nous envoie et qui nous dit de regarder en nous lorsque nous avons des problèmes physiques, nous laissons notre ego nous convaincre que nous sommes agressés de l’extérieur puis nous cherchons le coupable et croyons que nous devons nous battre contre lui.
On se bat en prenant un médicament, en accusant les autres lorsque nous avons un problème de relation ou en s’accusant et en se justifiant sans cesse, etc. Le problème peut sembler résolu pendant un certain temps mais il finit par revenir. Par exemple, soulager un mal au dos avec des médicaments ne règle pas le manque d’amour de soi qui se cache derrière ce mal.
Chaque fois qu’une personne prend sa responsabilité – j’en ai été témoin des milliers de fois – son problème se résout très vite. Pourquoi? Parce que prendre sa responsabilité, c’est arrêter de croire que les malaises viennent de l’extérieur ce qui fait en sorte que nous n’avons plus besoin de nous battre contre eux. Le corps reçoit donc le message qu’il n’a plus besoin de se défendre, qu’il peut revenir à son état naturel et que la situation est maîtrisée. Une personne responsable peut quand même décider de prendre un médicament ou accepter toute autre forme d'aide lorsque ce qu’elle vit est trop souffrant. L’important est qu’elle se rappelle qu'elle a elle-même créé ce malaise et qu'elle veut arriver à en comprendre le message.
Être responsable implique donc l'acceptation que VOUS SEUL créez votre vie à chaque instant. Chaque fois que vous donnez votre pouvoir aux autres en croyant qu’ils sont la cause de vos problèmes, vous n’êtes pas dans votre cœur car c’est votre ego qui prend le dessus. La vraie guérison est alors impossible. Vous ressemblez donc au système immunitaire spécifique qui réagit de plus en plus vite quand un problème resurgit.
Supposons que votre conjoint vous ment. La première fois que vous vous en rendez compte, vous vivez de la colère mais vous lui en parlez et espérez que ce que vous lui avez dit pour vous défendre arrangera la situation. Vous allez être bien pour un certain laps de temps, jusqu’au jour où il vous mentira à nouveau. La deuxième fois, votre réaction sera un peu plus rapide et forte. D’ailleurs, elle empirera chaque fois que la situation se répétera jusqu’à ce que vous preniez votre responsabilité et arrêtiez de croire que votre réaction est causée par une agression  extérieure. Sachez qu’au plan métaphysique, toute inflammation est une indication que nous vivons de la colère parce qu’on accuse les autres ou soi-même de quelque chose, ce qui est contraire aux lois de l’amour.
Afin de prendre votre responsabilité, vous devez vous demander pourquoi vous avez attiré un conjoint qui vous ment. Vous l’accusez d’être quoi? La réponse à cette question vous fera découvrir ce que vous vous accusez vous-même d’être parfois ou vous fera prendre conscience de tout ce que vous faites pour ne pas être ainsi parce que vous n’acceptez pas cette partie en vous. Vous aimer signifie accepter toutes les parties en vous, que vous les considériez négatives ou non. S’aimer, ce n’est pas seulement s’accepter dans ce que nous aimons de nous. C’est aussi s’accepter dans ce que nous n’aimons pas de nous en ayant à l’esprit que c’est toujours notre ego qui dit que ce n’est pas bien d’être ainsi.
S’aimer c’est se donner le droit d’être ce que nous sommes à chaque instant, c’est-à-dire accepter nos forces et nos faiblesses, nos hauts et nos bas. Vous pourrez ainsi accepter ceux que vous accusez et même les remercier pour ce que vous apprenez sur vous-même grâce à eux.
Avec amour,
Lise Bourbeau
http://www.ecoutetoncorps.com/fr/ressources-en-ligne/chroniques-articles/savez-vous-que-votre-systeme-immunitaire-travaille-pour-vous-ramener-vers-lamour-de-vous-meme/

sexta-feira, março 28, 2014

SAVIEZ-VOUS QUE LE CANCER PEUT ÊTRE ANALYSÉ TANT D'UN POINT DE VUE MÉDICAL QUE SPIRITUEL?


En effet, le cancer, au même titre que les autres maladies, a un aspect spirituel dont le but est de nous aider à changer notre vision de cette maladie qui fait tant de ravages.

J'ai effectué une recherche active à ce sujet et je suis maintenant convaincue qu'il n'y a pas de hasard si cette maladie prend de l'ampleur malgré les recherches scientifiques et le taux de guérison qui s'améliore.

Cette maladie est devenue une sorte d'épidémie dans tous les pays plus développés. Pourquoi? Parce qu'avec l'avènement de l'ère du Verseau, qui a débuté il y a une cinquantaine d'années, on doit se diriger vers l'amour véritable au lieu de laisser nos peurs nous diriger. LE CANCER N'EST QU'UNE MALADIE D'AMOUR BLESSÉ. Mais pourquoi certaines personnes qui ont manqué d'amour et qui ne savent pas s'aimer véritablement n'ont jamais le cancer?

Le sujet principal de mon dernier est celui du cancer et de sa cause profonde. Suite à mes observations et à mes rencontres avec des milliers de personnes qui ont dû affronter le cancer, j'en suis venue à la conclusion suivante : les personnes qui nient complètement leur douleur due à leur manque d'amour sont les plus propices à avoir cette maladie. Leur blessure de rejet les empêche d'admettre ce manque d'amour.

Si vous vous reconnaissez, dites-vous que chaque fois que vous niez que quelque chose ou quelqu'un vous dérange ou vous fait de la peine, c'est parce que vous vivez intensément une blessure de rejet. Vous vous faites croire qu'une situation ou une personne ne vous dérange pas. Vous parlez des difficultés de votre enfance, de l'injustice de vos parents et même de leur cruauté envers vous sans émotion. Vous croyez que ne regarder que le bon côté des choses fait de vous une personne optimiste. Vous croyez que vous vous en êtes quand même bien sorti et que c'est pour cette raison que vous êtes une personne plus forte. Les gens qui ont un cancer ont une force extraordinaire pour tout refouler en eux et peuvent même déformer la réalité.

Il faut savoir que la blessure de rejet est activée dès la naissance par une situation vécue avec le parent du même sexe. C'est la blessure qui fait le plus mal. Cette douleur, refoulée depuis si longtemps, ronge une personne de l'intérieur et prend de plus en plus d'ampleur jusqu'à en devenir de la haine refoulée envers le parent du même sexe. Toutes les personnes avec qui on ressent du rejet par la suite ne sont que le reflet de ce qui a été vécu avec le parent du même sexe. Chaque fois qu'on se rejette, on se traite de nul. Ceci amplifie la rancune qui devient de la haine.

Vous trouverez tous les détails de cette blessure dans le livre Les cinq blessures qui empêchent d'être soi-même, ainsi que dans mon livre Le cancer, un livre qui donne de l'espoir.

Le cancer se manifeste chez les personnes qui n'arrivent plus à nier ni à refouler leur manque d'amour. Ils perdent le contrôle et le cancer apparaît. Je vous rappelle que toute maladie n'est que la manifestation physique de tout ce qui se passe en nous au plan psychologique. D'ailleurs, le cancer est caractérisé par des cellules qui ne cessent de se reproduire au lieu d'arrêter quand elles le devraient (perte de contrôle). Elles dévorent donc les cellules saines avoisinantes.

Beaucoup de personnes en sont affectées parce qu'il est devenu urgent pour elles, comme pour nous tous, d'apprendre à s'aimer plutôt que de se rejeter et vouloir se changer, tout comme elles auraient voulu changer leur parent du même sexe. Le cancer est donc un message spirituel. C'est l'âme qui crie AU SECOURS parce qu'elle a besoin d'amour. Le DIEU intérieur de quelqu'un qui a nié cet appel depuis sa tendre enfance finit par attirer son attention avec une maladie plus importante, voire mortelle puisqu'il ne souhaite que son bonheur.

Plus la blessure de rejet prend de l'ampleur, plus on vit dans la peur et le déni. Si vous avez un cancer et que vous souhaitez retrouver la santé, il faut commencer par prendre les moyens nécessaires pour ressentir tout ce que cette grande douleur vous a fait vivre depuis si longtemps. Il faut oser admettre que vous en avez beaucoup voulu à votre parent du même sexe et que vous vous en voulez autant d'être comme ce parent, même si vous faites tout pour être le contraire. C'est votre ego qui vous fait croire que vous n'êtes pas comme ce parent.

Ensuite, il vous faut reconnaître que les manifestations de rejet ne sont que des expressions de limites. Prenons l'exemple d'une mère qui donne son enfant à l'adoption à sa naissance. Est-elle en train de dire qu'elle n'aime pas cet enfant? Non. Elle ne fait qu'exprimer ses limites. Elle ne se croit pas capable de s'occuper de cet enfant à cause de la situation dans laquelle elle se trouve au moment de sa naissance.

Lorsque vous ne voulez pas être comme votre parent du même sexe, vous le rejetez. Est-ce parce que vous ne l'aimez pas? Au contraire, vous voudriez tellement vous sentir aimé de ce parent que vous préférez le rejeter plutôt que de continuer à être déçu de ne pas être aimé selon vos attentes. Vous pensez à votre survie, tout simplement. Vous n'êtes donc pas une personne méchante, tout comme ceux qui semblent vous rejeter ne le sont pas non plus.

Pour guérir, il faut se pardonner véritablement. J'ai traité de ce sujet dans plusieurs articles, livres et ateliers. Ce n'est qu'avec la réconciliation avec votre parent du même sexe (dans le cas du cancer) et le pardon de vous-même que vous pouvez espérer un revirement radical.

Jumelez ce travail intérieur et spirituel à un traitement physique et l'espoir sera au rendez-vous. 

Avec amour,

Lise Bourbeau
Infolettre d'Écoute ton corps #137
http://www.ecoutetoncorps.com/fr/ 

sexta-feira, janeiro 17, 2014

SAVIEZ-VOUS QU'AVOIR UNE RELATION DE COUPLE EST UN DES GRANDS DÉFIS DE LA VIE?


Il y en a même qui admettent que c'est LE plus grand défi de leur vie. Cela peut se produire si vos parents vous ont donné un modèle de relation très difficile et que vous croyez - comme eux - que c'est en effet presque impossible d'avoir une relation harmonieuse et intime avec quelqu'un.

Pourquoi est-ce un défi ? Parce que la vie commune éveille beaucoup de peurs et de croyances qui sont refoulées depuis la naissance. Vivre en couple n'est pas la même chose que vivre en famille ou avec des amis. 

Un des problèmes majeurs est qu'on oublie que chacun est différent. Un des grands secrets d'une bonne relation est d'ACCEPTER SA DIFFÉRENCE AINSI QUE CELLE DE L'AUTRE.Il est utopique de croire que deux partenaires peuvent toujours avoir les mêmes désirs et la même façon de vivre au même moment. Dans une relation, chaque partenaire doit pouvoir écouter ses propres besoins et sentir que c'est légitime de faire ce qui est bon selon lui, même si l'autre n'est pas d'accord.

Il est fort possible que votre ego prenne le dessus en lisant ceci et vous dise :« Avec ce genre de philosophie, si un décide d'abuser de l'autre, de le tromper, de le battre même, doit-on le laisser faire ? » Ce n'est pas du tout ce que j'exprime ici. Ce qu'il lui semble bon POUR LUI veut dire ce qui le concerne uniquement, ce dont il sera le seul à assumer les conséquences.
Il doit être clair que chacun doit prendre l'entière responsabilité de toutes ses décisions. Si toutefois l'un veut aider l'autre, cela se fera par choix et non par obligation.

Accepter nos différences ne peut être possible que s'il y a des ententes claires et précises. Voilà un autre défi. Savoir s'exprimer, savoir communiquer afin que les ententes soient claires entre les deux dès le départ. La plupart d'entre nous avons plutôt appris de nos parents comment avoir des attentes et non comment faire des ententes précises. Pourquoi ? Parce que nos parents ne savaient pas comment faire. Alors, pourquoi ne pas dépasser nos parents en apprenant à le faire nous-mêmes ? C'est ce qui s'appelle l'ÉVOLUTION d'une personne.

Une autre chose qu'un couple doit réaliser, c'est qu'une union donne la possibilité de démontrer son amour de différentes façons. Si tous les deux insistent à ce que l'autre démontre son amour d'une certaine façon, ce sera une grande source de conflits. Par exemple dans mon premier mariage, je croyais que si mon mari aidait à la maison, s'il rangeait tout au fur et à mesure plutôt que de toujours remettre cela à plus tard, s'il s'occupait du jardin, etc., cela voulait dire qu'il m'aimait. Pourquoi ? Parce que j'avais vu mon père le faire et je croyais qu'il démontrait son amour ainsi, car il était très peu communicatif. Comme il ne pouvait pas dire Je t'aime à maman, c'est seulement ainsi qu'elle pouvait le savoir.

Je vous avoue que je n'ai jamais vérifié auprès de mes parents si la déduction que j'avais faite était vraie. Je sais par contre que lorsque mon mari me disait très souvent Je t'aime, je ne le croyais pas parce qu'il ne voulait pas faire ce que je lui demandais au moment où je le voulais. Voilà une des raisons qui ont mené au divorce. Tout ça pour dire que c'est mon incapacité à croire que l'amour puisse être démontré de plusieurs façons qui a contribué à recevoir ce genre d'amour de la part de mon mari. Si j'avais accepté sa différence, je sais maintenant qu'il aurait agi autrement.

TOUT VIENT DE SOI. On croit que c'est l'autre qui nous rend malheureux alors que c'est ce qui se dégage de nous qui incite l'autre - malgré lui - à agir de telle ou telle façon avec nous. Voilà une autre grande difficulté. C'est pourquoi il est important d'utiliser notre partenaire comme le meilleur moyen pour apprendre à mieux nous connaître. Ça s'appelle FAIRE LE MIROIR avec l'autre. Cette technique a déjà été expliquée dans plusieurs autres articles ainsi que dans mes livres, conférences et ateliers. C'est un outil très important pour avoir le genre de relations que nous désirons.

Une autre difficulté est de croire que nous pouvons rendre notre partenaire heureux. Ce n'est qu'une croyance de l'ego. Chaque action faite dans le but de rendre l'autre heureux ne fait que donner plus de pouvoir à l'ego. Quand l'autre est heureux, nous croyons que c'est grâce à nous. Voilà pourquoi nous croyons au même degré que lorsqu'il est malheureux, c'est aussi à cause de nous et voilà, le cercle vicieux est reparti. Nous recommençons à faire des pirouettes pour rendre l'autre heureux. IL EST IMPOSSIBLE de rendre une autre personne heureuse, car le bonheur ne peut venir que de l'intérieur de nous. Le bonheur vient de notre réaction à tout ce qui se passe dans notre vie et non à cause des événements, personnes ou situations.

J'ai observé plusieurs personnes se sentir coupables de montrer leur joie de vivre quand leur partenaire est malheureux. Pourtant nous pouvons mieux aider quelqu'un en continuant à être bien qu'en essayant de le changer pour qu'il cesse d'être malheureux. En nous forçant à aider quelqu'un et en oubliant nos propres besoins, nous devenons un martyre. Nous ne sommes pas vrais envers nous-mêmes et ce qui se dégage de nous ne peut aider l'autre.

Pour voir si votre relation de couple est en danger, observez ce qui se passe quand l'un est heureux et joyeux, et que l'autre ne l'est pas. Si celui qui n'est pas heureux momentanément n'est pas capable d'être bien en voyant l'autre joyeux, comme s'il lui en voulait d'être bien quand il ne l'est pas, c'est mauvais signe. Il devient urgent de changer votre façon de vivre ensemble, car ça ne pourra plus durer très longtemps. Cette façon de réagir de la part d'un des partenaires indique que tous les deux sont ainsi.

Je termine cet article en vous suggérant de bien savourer ce que vous avez dans votre relation, dès le départ si possible, car rencontrer un partenaire de vie ne se présente pas tous les jours. Pourquoi ne pas faire le bilan chaque semaine ensemble de ce que vous avez aimé et savouré ensemble durant la semaine ? C'est beaucoup plus agréable que d'avoir une relation de compétition et de guerre d'ego, ne croyez-vous pas ?

Avec amour,

Lise Bourbeau

Fonte: http://www.ecoutetoncorps.com Infolettre d'Écoute ton corps #136

domingo, setembro 01, 2013

Saviez-vous que beaucoup de croyances sont devenues des dogmes?


Vous trouvez peut-être que j’utilise un bien grand mot pour définir vos croyances, mais c’est ce que j’ai pu constater chez les gens qui avaient des croyances si ancrées qu’ils n’arrivaient pas à s’ouvrir à de nouvelles façons de penser ou de faire. Définissons d’abord les mots croyance et dogme.
Une croyance est une certitude plus ou moins grande que notre corps mental tient pour vraie.
Un dogme est une affirmation considérée comme une vérité fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Cette affirmation est donc une opinion émise sur le ton de la certitude absolue et est imposée comme une vérité indiscutable.
Lorsque j’étais jeune et que j’allais dans un couvent tenu par des religieuses catholiques, on nous disait que seulement ceux qui faisaient partie de la religion catholique pouvaient aller au ciel. On nous inculquait que le Dieu que nous adorions était le vrai Dieu et que ceux des autres religions étaient faux. Un jour, par curiosité, j’ai visité une église protestante. Je me sentais tellement fautive que je me suis assurée que personne ne m’avait vu y entrer. Après ma visite, j’ai eu peur d’être châtiée parce qu’on m’avait enseigné que Dieu voyait tout, qu’il était omniprésent. J’avais l’impression qu’il y avait un œil tout-puissant qui suivait sans cesse tout le monde et qu’il y avait une épée de Damoclès au-dessus de la tête de quiconque croyait à ce dogme.
Et vous? À quel point tenez-vous à vos croyances? Avez-vous peur de subir un châtiment quand vous allez à l’encontre de ce que vous avez appris? Il est tout à fait normal d’avoir des croyances, mais elles doivent émaner de vous et non de l’extérieur et vous procurer un bien-être intérieur. Malheureusement, la plupart des croyances auxquelles nous avons adhéré viennent d’ailleurs, principalement de notre éducation familiale, religieuse, scolaire et sociale.
Il faut surtout se souvenir que ce que nous tenons pour vrai aujourd’hui n’est pas nécessairement vrai pour toujours. Pour découvrir toutes les croyances que vous entretenez, portez attention à vos émotions (sentiment désagréable causé par une accusation mentale, telle la colère). Chacune d’entre elles est causée par l’une de vos croyances à laquelle vous tenez mordicus. Plus votre croyance se rapproche d’un dogme, plus l’émotion sera grande et plus vous voudrez convaincre les autres que vous avez raison.
Prenons l’exemple d’une femme qui croit que fumer et boire de l’alcool peut la rendre malade. Elle s’en abstient et arrive à se contrôler très bien mais elle s’est attiré un conjoint qui fume et qui aime bien prendre un verre. Elle vit sans cesse des émotions parce qu’elle veut que son mari arrête de fumer et de boire et il résiste puisqu’il sait fort bien que le comportement de sa femme n’est pas dicté par l’amour mais bien par une croyance qu’elle entretient. Le fait qu’elle vit des émotions nous indique que c’est sa peur d’être malade qui la contrôle, mais elle est convaincue que c’est vraiment son choix et qu’elle ne se fait pas contrôler par sa peur.
Comment peut-on savoir qu’on se contrôle? Quand on cherche à contrôler tous ceux qui ne croient pas à la même chose que nous, c’est un signe qu’une croyance est devenue un dogme : cette croyance est convaincue de détenir la vérité et que celle-ci est indiscutable.
La femme dans mon exemple ne réalise pas que ce dont nous avons peur se manifeste toujours. En effet, le subconscient ne comprend que les images et les sentiments qui accompagnent nos pensées. Ainsi, dès que cette femme parle d’alcool ou de cigarette (ou qu’elle y pense ou lit sur le sujet), elle y associe le mot MALADE. Son subconscient l’imagine donc en mauvaise santé.
Je ne suis pas en train de dire que cette dame a tort. Il est certain que chaque substance que nous ingérons et qui n’est pas nécessaire au bon fonctionnement de notre corps lui exige davantage de travail pour la digérer, l’assimiler et l’éliminer.
Cela dit, j’ai rencontré plusieurs personnes qui ont fait des abus et qui ont vieilli en santé et étaient plein d’énergie. Je sais donc que tout est possible pour quelqu’un qui est motivé par amour pour lui-même et non par une croyance venue de l’extérieur. Faire quelque chose par amour pour soi signifie que même si nous savons que certaines choses ne sont pas bénéfiques pour nous et que leurs effets sont parfois dommageables, nous nous acceptons dans le fait que nous dévions PARFOIS de nos besoins, sans nous juger ou nous sentir coupable. Le fait de ne pas laisser une croyance devenir un dogme, qui nous amène vers le contrôle de soi et des autres, nous aide à nous ouvrir à de multiples possibilités.
Je vous suggère donc de commencer à faire la liste de vos croyances. Au fur et à mesure que vous en découvrirez une nouvelle, ajoutez-la à votre liste. Cotez chacune d’entre elles sur une échelle de 1 à 10. Le nombre choisi doit indiquer le degré de contrôle qu’exerce cette croyance en vous. Pour vous aider à faire cet exercice, vérifiez jusqu’à quel point vous vivez des émotions lorsque vous ou l’un de vos proches n’écoutez pas la croyance en question.
Le but de ce travail n’est pas de vous faire sentir coupable. Si c’est le cas, abstenez-vous de faire cette liste. Votre motivation doit être d’apprendre à vous connaître davantage et de vous aider à vous accepter. Plus vous vous accepterez, plus vous vous autoriserez à dévier à l’occasion de vos croyances et moins vous serez dans le contrôle. Vous récupérerez ainsi toute l’énergie que vous utilisiez pour vous contrôler.
Peu à peu, vous SAUREZ au lieu de CROIRE, c’est-à-dire que vous connaîtrez ce qui est bénéfique pour VOUS seulement. Vous ne serez plus dérangé par les personnes qui agissent autrement. Vous comprendrez qu’il est impossible que nous ayons tous les mêmes besoins et que tout un chacun a des expériences différentes à vivre pour apprendre à se connaître.
Souhaitez-vous vivre dans l’illusion d’un sentiment de sécurité apporté par toutes vos croyances ou vous ouvrir à de nouvelles façons de penser et à de nouvelles expériences afin d’évoluer? Souvenez-vous que rien ne peut changer dans votre vie sans que vous ayez pris la décision qu’il en soit ainsi.
Si vous ne l’avez pas déjà suivi, je vous suggère de suivre l’atelier Écoute Ton Corps. Il vous enseignera une méthode pour découvrir vos croyances et les étapes à suivre pour les transformer.
Avec amour,
Lise Bourbeau

Fonte: http://www.ecoutetoncorps.com/

domingo, agosto 25, 2013

LES CINQ BLESSURES DE L'ÂME


C'est une québécoise, Lise Bourbeau, qui je crois a lancé cette théorie :

Nous portons en nous depuis l'enfance des blessures souvent inconscientes, et nous créons des "masques" pour ne pas les ressentir. Ces masques nous empêchent alors d'être nous-mêmes, et se mettent en travers de nos relations.

Lise Bourbeau identifie 5 blessures et les masques associés :
blessure de rejet, et masque de fuite
blessure d'abandon, et masque de dépendant
blessure d'humiliation, et masque de masochiste
blessure de trahison, et masque de contrôlant
blessure d'injustice, et masque de rigide.
Alors là, je me suis tout de suite reconnue dans... à peu près toutes ces blessures, mais surtout la troisième, ça éclaire plein de mes comportements. De quoi bosser dans les semaines à venir.

Ca vous titille ? Voici quelques liens pour creuser :
- un descriptif très bien fait sur ces blessures et masques, sur "Le voyage de Mona"
- le site de Lise Bourbeau
- le site Ecoute ton corps, très commercial mais avec quelques ressources intéressantes en ligne.

Portez vous bien.
http://energiepositive.over-blog.com/article-les-cinq-blessures-de-l-ame-107745002.html



sábado, junho 01, 2013

vous êtes responsable de l’énergie qui vous habite?

Saviez-vous que...
...vous êtes responsable de l’énergie qui vous habite?
La physique affirme que l’énergie ne peut être créée ou détruite mais seulement transformée. Ceci signifie que votre énergie vitale ne vous quitte jamais. Par contre, elle peut être mal ou bien utilisée.
Rien ne pourrait se produire sur la planète sans énergie. Sans elle, rien ne bougerait ni ne changerait. Quand on comprend comment l’énergie fonctionne dans notre monde physique, émotionnel et mental, on peut l’utiliser pour qu’elle ait un effet bénéfique ou destructeur sur notre bien-être.
Notre rapport à l’argent symbolise notre façon de gérer notre énergie. D’ailleurs, nombreuses sont les personnes qui s’en inquiètent constamment. Souvenez-vous que plus on s’inquiète, plus on se crée des peurs qui finissent par se manifester. C’est une dépense d’énergie inutile.
C’est donc une bonne pratique de gérer notre énergie comme on gère notre argent. En gardant la trace de ce qui entre et sort de notre compte de banque, on sait toujours ce qui nous reste en réserve.
Cela dit, vous vous demandez sûrement comment on peut faire entrer de l’énergie en nous. La plupart des gens sont conscients du fait qu’ils sont pleins d’énergie lorsqu’ils font une activité qu’ils aiment ou reçoivent une bonne nouvelle. Pour eux, il est normal d’en avoir dans ces situations.
Hélas! Ces personnes réalisent rarement que si elles sont vidées d’énergie à la fin d’une journée, c’est à cause de leur attitude. L’attitude que vous adoptez fait toute la différence dans l’énergie que vous avez ou non. Quand vous manquez d’énergie, prenez le temps de vous poser les questions suivantes : « Dans quelle situation et avec qui ai-je vécu des émotions aujourd’hui? Qui ai-je critiqué? Avec qui ai-je vécu de la colère parce que mes attentes n’ont pas été comblées? À quel moment ou de qui me suis-je plaint? ».
Vous pensez peut-être qu’il est normal d’être contrarié ou de vivre des petites émotions tous les jours. Toutefois, on peut comparer ces petites émotions aux petites dépenses inutiles que l’on fait chaque jour pour des cafés ou des magazines et qui finissent par gruger notre budget. On le fait inconsciemment.
Vous ne pouvez pas blâmer les autres d’être la cause de vos émotions ou de votre stress. Seule votre attitude fait la différence.
Pendant quelques semaines, prenez le temps de noter quotidiennement votre degré d’énergie en lui attribuant une note entre 1 et 10. Faites la même chose pour votre attitude. Peu à peu, vous vous rendrez compte que vous pouvez être plein d’énergie, même après une journée chargée.
Quand vous vous faites des compliments, que vous appréciez le geste de quelqu’un, que vous avez de la compassion, que vous planifiez et pensez à un projet agréable, que vous voyez le bon côté d’une situation qui vous semble désagréable, remarquez à quel point votre énergie augmente. C’est comme si vous remplissiez votre compte de banque.
Au bout de quelques semaines, faites le bilan. Est-ce que vous vous retrouvez plus souvent dans le rouge ou vous accumulez des réserves pour les jours qui pourraient être plus difficiles? Si vous vous retrouvez souvent en manque d’énergie, sachez que vous seul en êtes responsable. CE N’EST JAMAIS LA FAUTE DES AUTRES OU D’UNE SITUATION.
N’est-ce pas merveilleux de savoir que vous maîtrisez votre vie? Changez d’attitude et vous découvrirez votre grand pouvoir.
Rappelez-vous surtout que chaque geste d’amour que vous posez envers vous-même ou une autre personne vous donnera de l’énergie. Lorsque vous n’écoutez pas vos besoins physiques, que ce soit au niveau du repos, de la nourriture ou de l’exercice dont vous avez besoin, vous manquez d’amour envers vous-même. Les critiques que vous vous faites affectent aussi votre état mental et émotionnel. La conclusion est simple : en vous aimant, vous aimerez automatiquement les autres au même degré et vous aurez toute l’énergie dont vous avez besoin à chaque instant.
Avec amour,
Lise Bourbeau

Fonte: http://www.ecoutetoncorps.com/infolettre/Infolettre_122.html

sexta-feira, março 16, 2012

quelle est la différence entre la patience et la tolérance

Savez-vous...

... quelle est la différence entre la patience et la tolérance?

Pour commencer, il est important de savoir que ces deux états d’être représentent des marques d’amour, pour vous ou pour les autres, seulement lorsque vous les vivez par choix et non par peur.

La patience est une aptitude nécessaire pour vous aider à reconnaître que vous n’êtes pas prêt pour quelque chose ou que ce n’est pas le bon moment. C’est une qualité importante dont vous avez besoin pour persévérer dans une activité ou un travail de longue haleine sans vous décourager. Elle permet également dans certaines situations d’attendre que les choses se transforment d’elles-mêmes quand vous savez que vous avez fait tout ce que vous pouviez.

La personne impatiente veut que tout se passe à l’instant même, que tous ses désirs se manifestent de suite, sans tenir compte de ses limites ou de ses vrais besoins. J’ai constaté très souvent que ceux qui commencent à faire un travail sur soi sont trop impatients. Ils voudraient que toute leur vie change instantanément. On peut les comparer à une personne qui voudrait perdre un surplus de poids de 30 kg en quelques semaines. C’est son impatience qui la découragerait et lui ferait oublier sa bonne résolution de donner à son corps ce dont il a besoin, au moment où il en a besoin.

Par contre, la patience peut devenir non bénéfique pour vous lorsqu’elle est motivée par la peur. Vous pourriez alors être patient au point de vivre dans la soumission ou de laisser les autres profiter de vous sans oser vous affirmer. Il est important de vérifier si vos comportements patients sont motivés par un lâcher-prise (donc par de l’amour) ou par une peur de quelque chose ou de quelqu’un.

Souvenez-vous que la patience n’est pas une attitude passive. Elle est au contraire très dynamique et elle vous aide à accroître votre volonté.

La patience se pratique avec soi-même tandis que la tolérance est nécessaire avec les autres.

La tolérance représente la capacité de respecter la liberté d’autrui, ses opinions, sa manière de penser et d’agir. Elle vous aide à permettre aux autres d’avoir des idées, des attitudes et des comportements différents des vôtres sans pour autant être d’accord avec eux. La tolérance, c’est aussi reconnaître que quelque chose vous dérange, mais décider de faire fi de certaines de vos croyances ou de vos valeurs lorsque la situation concerne une autre personne. C’est une preuve de flexibilité, d’indulgence et de souplesse.

Cependant, la tolérance devient non bénéfique pour vous lorsque vous vous soumettez et que vous laissez les autres empiéter dans votre espace vital. Ce genre d’attitude est une indication de peur. C'est également la peur qui amène une personne à être intolérante. Elle devient alors rigide et cherche à contrôler les autres.

La tolérance est une qualité de cœur qui vous aide à avoir davantage de compassion et de respect pour les autres tout comme la patience vous aide à avoir de la compassion et du respect pour vous-même. Voilà de belles attitudes d’amour à développer.

En conclusion, n’oubliez pas que la patience et la tolérance vont de pair. L'une aide l’autre à se développer. Si, par exemple, vous croyez être tolérant envers les autres, mais que vous manquez de patience pour vous-même, je vous suggère d’être plus alerte à l'avenir. Il se peut que vous soyez soit moins tolérant envers les autres, soit plus patient envers vous-même que vous pensiez. Rappelez-vous que nous agissons avec les autres comme avec nous-mêmes. Voilà pourquoi vos proches sont si précieux pour vous aider à devenir conscient de ce que vous ne voulez pas voir en vous.

L’équipe d’Écoute Ton Corps se joint à moi pour vous souhaiter un joyeux temps des fêtes et une année 2012 qui réponde à tous vos besoins. Que l’amour soit votre plus grand guide dans tout ce que vous faites, dites, pensez et ressentez.

Si vous êtes nouvellement abonné, je vous invite à lire la fin de mon message de l’infolettre de décembre 2009 pour y découvrir un exercice intéressant que je suggère de faire à la fin de chaque année.

Avec amour,

Lise Bourbeau

http://www.lisebourbeau.com/fr/accueil.php

quarta-feira, outubro 26, 2011

nous souffrons tous d’au moins quatre des cinq blessures

Saviez-vous... ...que nous souffrons tous d’au moins quatre des cinq blessures de l’âme? Cet article se veut un rappel pour tous ceux qui ont appris ce que sont les blessures de l’âme, soit en lisant mon livre Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même ou en participant à l’atelier Caractères et blessures. Pour ceux qui ne les connaissent pas, elles sont le REJET, l’ABANDON, l’HUMILIATION, la TRAHISON ET l’INJUSTICE. Chacun d’entre nous naît avec ces blessures puisque leur guérison fait partie de notre plan de vie. Ainsi, chaque problème que nous vivons, dans quelque domaine que ce soit, est toujours lié à une blessure qui nous fait souffrir. Le degré de notre souffrance physique et psychologique est une indication de l’ampleur de notre blessure. Il arrive assez souvent que des gens me disent qu’ils n’ont plus qu’une seule blessure à guérir. En réalité, ces personnes se laissent plutôt leurrer par leur ego. Je peux affirmer ceci puisque je travaille avec les blessures depuis vingt ans et, honnêtement, je ne connais personne qui n’ait qu’une seule blessure, incluant moi-même. Certes, à mesure que notre ego diminue, c’est-à-dire que nous nous libérons de nos croyances non bénéfiques, nos blessures diminuent. Toutefois, il est quasi impossible de les guérir toutes au cours d’une seule vie puisque nous les avons depuis des milliers d’années. Parfois, certaines situations sont plus douloureuses que d’autres, ce qui peut faire en sorte qu’une blessure est plus active qu’une autre à un moment précis de notre vie ou même que deux blessures soient activées en même temps. Cela ne veut pas dire que les autres blessures sont guéries. Il est important ici de se rappeler que nous ressentons davantage nos blessures lorsque d’autres les activent, tout comme une plaie est plus douloureuse quand une autre personne la touche. Pour mieux illustrer ma pensée, prenons l’exemple d’une femme qui vient de se faire congédier. Elle vit du rejet et possiblement de l’injustice face à cette situation. Elle peut avoir mal au point d’en oublier ses autres blessures. Tout comme si vous souffrez d’une forte migraine, vous pouvez oublier votre mal de dos pendant un certain temps. Mais pourquoi nos blessures font-elles si mal? Simplement parce que nous ne savions pas, jusqu’à maintenant, comment les guérir. Rappelons-nous aussi que ce n’est jamais une autre personne qui nous blesse, mais plutôt notre propre perception de l’incident en question, car nous percevons les événements à travers nos filtres – nos blessures – quand nous souffrons. Lorsque nous laissons nos croyances nous envahir et nous convaincre, nous nous faisons mal à nous-même puisque chacune de nos croyances est liée à une des cinq blessures. La seule blessure qui ne s’applique pas à tout le monde est la blessure d’humiliation. Seul votre corps peut vous indiquer si vous avez cette blessure ou non, ce qui ne veut pas dire que vous ne vous sentez jamais humilié si vous ne l’avez pas. Une situation que vous trouvez humiliante peut concerner une autre blessure. Prenons l’exemple d’un homme qui renverse sa tasse de café sur sa chemise blanche durant une réunion d’affaires importante. Il se sent humilié, mais il est possible que cette situation ravive plutôt sa blessure d’injustice s’il a peur du jugement des autres sur son apparence, peur que son geste maladroit affecte sa réputation d’homme parfait et toujours bien mis. S’il souffre de la blessure d’humiliation, il se dira plutôt : « J’ai l’air d’un vrai cochon! Pourquoi faut-il que je me fasse toujours arriver de telles situations? ». Il peut même le dire aux autres pour les faire rire, ce qui l’aide à cacher sa blessure. Celui qui souffre d’injustice essaiera plutôt d’enlever la tache au plus vite ou empruntera une chemise à quelqu’un d’autre. Chaque blessure fait vivre des émotions et des réactions différentes. En résumé, on ne doit pas s’attacher aux mots. Vous pouvez trouver une situation injuste alors qu’elle touche davantage votre blessure de trahison et ainsi de suite pour toutes les blessures. Les moyens utilisés pour découvrir quelles blessures sont activées dans une situation donnée sont bien décrits dans mon livre sur les blessures. Je vous suggère de vous y référer pour en apprendre davantage à ce sujet. J’aimerais terminer cet article en vous invitant à demeurer vigilant au sujet de vos blessures. Rappelez-vous que ce n’est que par l’amour véritable que nous pouvons les guérir. Comme l’amour est synonyme d’acceptation, chaque fois que vous vous rendrez compte que vous rejetez, abandonnez, humiliez, trahissez ou êtes injuste, que ce soit avec quelqu’un d’autre ou avec vous-même, accueillez-vous dans ces situations sans vous critiquer. Donnez-vous le droit d’avoir des blessures. Soyez tout simplement heureux de voir vos blessures diminuer sans penser qu’un jour elles seront guéries. À titre informatif, sachez qu’une personne sans blessure arriverait à vivre avec toutes sortes de personnes, dans toutes sortes de situations sans jamais les critiquer, incluant elle-même. Je crois sincèrement que nous vivrons cet état sublime un jour, mais pas dans cette vie-ci puisque nous avons beaucoup de rattrapage à faire. Soyez fier chaque fois que vous vous rendez compte que vos blessures font de moins en moins mal et qu’elles sont activées de moins en moins souvent. Vous saurez ainsi que votre âme est heureuse de se libérer de ses souffrances et que vous vous dirigez vers la paix intérieure. Avec amour, Lise Bourbeau

sexta-feira, setembro 16, 2011

UN fait peut être sujet à de MULTIPLES interprétations ?

Saviez-vous...
... qu’en réalité UN fait peut être sujet à de MULTIPLES interprétations ?
Effectivement, quel que soit le fait en question, chaque personne qui en est témoin l’interprète à sa façon. C’est d’ailleurs la cause principale des désaccords entre les gens, que ce soit dans le domaine personnel ou professionnel.
Tout ce qui vous dérange, vous stresse ou vous fait sentir mal est causé par ce que vous avez interpreté du fait réel. Prenons l’exemple d’un directeur de compagnie qui annonce à ses trente employés qu’il a décidé de fermer sa compagnie dans deux semaines. Voilà un fait. Croyez-vous que les trente personnes vont réagir de la même façon ? Assurément non.
Un employé peut dire : « YOUPPIE, je voulais justement fonder ma propre entreprise et je n’avais pas le courage de le faire. Je viens d’avoir la réponse qu’il est temps de réaliser mon rêve. » Un autre peut  être anéanti parce qu’il croit qu’à l’âge de cinquante ans, il ne pourra jamais se trouver un autre emploi. Un troisième peut vivre beaucoup de colère et en vouloir à son patron d’annoncer cette nouvelle à la dernière minute. Il pourrait penser qu’après avoir passé vingt ans de sa vie au service de cette compagnie et étant le plus ancien employé, il aurait dû être prévenu avant les autres.
Prenons maintenant un autre exemple au plan personnel. Monsieur dit à madame qu’il n’a encore jamais mangé un rosbif qui arrive à la cheville de celui de sa mère, tellement elle a une façon spéciale de le préparer. Madame vit immédiatement de la colère : « C’est ça, dis-le-moi que je ne fais pas bien la cuisine. Tu n’as pas besoin de prendre ce genre de moyen détourné. Autant me dire en même temps que tu ne m’aimes pas autant que ta mère...» Le pauvre n’a jamais dit à sa femme qu’elle n’est pas bonne cuisinière et qu’il aime mieux sa mère qu’elle. Voilà le genre d’interprétation qui se fait couramment.
Ce qui est malheureux, c’est que la plupart des gens ne réalisent pas que ce qui les dérange résulte de leur propre interprétation. Ils ne peuvent lâcher prise, car ils sont convaincus de détenir la vérité. En réalité, ils ne lâcheraient pas prise de la vérité, mais bien de la croyance en leur interprétation.  Dans l’exemple précédent, cette dame détient-elle la vérité ? On sait bien que non, mais pour sa part, elle le croit sincèrement. Je suis même sûre que si elle répétait à une amie les propos de son mari, les mots seraient tout à fait différents des siens.
Il est donc sage de vous arrêter aussitôt que vous vous rendez compte de vivre quelque chose de désagréable, soit des accusations, des émotions, de la culpabilité, de la peur, etc. Ensuite, prenez le temps de prendre quelques bonnes respirations pour tenter de vous centrer. Le fait de savoir que ces émotions sont dues à votre interprétation vous aidera à prendre quelques instants pour vous demander quelles sont les différentes interprétations qui auraient pu résulter de ce fait. Quelle était la motivation possible de l’autre ? En agissant ainsi, vous vous retrouverez dans votre cœur plutôt que dans votre tête où l'ego s’amuse à vos dépens.
Dans la première situation, en se plaçant dans la peau du patron, il est facile de déduire qu’il avait de bonnes raisons de ne pas avertir son personnel plus tôt. De plus, il avait tous les droits de faire ce qu’il veut avec SON entreprise. En prenant sa décision, il n’a jamais eu l’intention de dire à ses employés qu’ils étaient nuls ou qu’il n’avait pas apprécié leurs bons services. Il écoutait tout simplement son besoin. On sait de plus que cette décision devait être très difficile pour lui. Comme il est impossible de faire plaisir à tout le monde, il n’aurait jamais pu utiliser un moyen qui convienne à tous ses employés. Le seul moyen valable est celui qui lui convient et qui relève de son essor.
Dans le deuxième exemple, je suis sûre qu’une fois sa colère atténuée, cette dame s’apercevra que son mari n’a jamais dit les choses qu’elle a cru entendre. De plus, il a le droit de préférer le rosbif de sa mère. Les goûts ne se discutent pas. Quand elle dit à son mari que le voisin est tellement méticuleux que son garage est toujours très en ordre (en sachant que son mari fait le contraire), est-elle en train de dire qu’elle n’aime pas son mari ou qu’elle aime mieux le voisin ?
Soyons donc davantage conscients des interprétations que nous prêtons à tout ce qui se passe autour de nous. Nous éviterons ainsi bien des désagréments, beaucoup d’émotions, et nous arrêterons d’alimenter nos peurs de ne pas être aimés ou d’être imparfaits.
Avec amour,
Lise Bourbeau

Infolettre d'Ecoute Ton Corps #110